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Catégorie : Hors classement
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Dernières impressions avant de vous rencontrer …
LE TITRE DU FILM
Cela a été très difficile de se mettre d’accord pour choisir un titre car tout le monde avait des idées aussi bonnes les unes que les autres comme : Le souffle de la magie noire, Le vent reviendra dans dix ans, Souffle tes bougies, Rouge et blanc…etc
Pour finir nous n’avons choisi aucun de ces titres mais nous avons opté pour une des phrases du film. Vous la découvrirez très vite en le regardant. A bientôt.
LE TOURNAGE
Paroles d’acteurs :
Nicole. P : « C’était très intéressant de devenir une actrice. »
Rita : « C’était très difficile de montrer une émotion sans parler mais c’était une belle expérience de jouer dans un vrai film »
Sophia : « Il était difficile de répéter plusieurs fois les mêmes scènes »
Osman : « On avait une grande responsabilité car si on faisait une petite faute on devait tout recommencer. On a du répéter neuf fois la même scène ! »
Paroles d’accessoiristes :
Yana : « C’était très dur de ne rien oublier !»
Sophia : « C’était très amusant de transformer une salle de classe en salle à manger »
Joana : « C’était fatigant de devoir tout ranger à la fin du tournage. On a passé toute une récré pour le faire »
Nicole. J : « Ce qui était assez difficile, c’était de sortir du matériel dehors puis le ramener en classe et encore le redescendre…etc
Paroles de réalisatrices :
Kalina : « Quand on tournait une scène il fallait faire attention à tout. Parfois il fallait répéter plusieurs fois les choses pour se faire entendre »
Suzanne : « J’ai adoré mon rôle de réalisatrice parce que c’était marrant de donner des ordres à des camarades de classe ! »
Mona, Nicole et Andgelo : « Les scènes d’intérieur avec les petits étaient très amusantes car ils voulaient toujours des calins et même s’ils étaient un peu distraits, ils ont fait tout ce qu’on leur a demandé »
Paroles de cadreurs :
Mathieu : « C’était difficile de rester debout longtemps et on devait toujours faire attention à ce que personne ne touche ou bouge la caméra car sinon on devait recommencer toutes les scènes. »
Hristo : « C’était dur de choisir le bon cadrage mais nous étions très contents à la fin de voir le résultat »
Lazar : « J’ai trouvé difficile de rester concentré plusieurs heures »
Paroles de figurants :
Sandra et Lazar : « J’ai trouvé compliqué de répéter souvent la même chose »
Georges : « A mon avis, être figurant c’est jouer ! «
Mathieu : « C’est difficile de rester à l’aise quand on doit changer très souvent de rôle »
Paroles de scripts :
Mathieu : « C’était chouette quand tout le monde nous remerciait parce qu’on avait sauvé le film ! »
Andgelo : « Ce qui était difficile c’était de faire attention à ce que les acteurs fassent toujours les mêmes gestes »
Après cette belle expérience, quand nous regarderons un film on apercevra maintenant les petits détails que nous ne voyions pas avant.
LA MUSIQUE DU FILM
Maintenant que c’est terminé nous sommes très fiers de notre musique.
Il y a plusieurs moments importants dans le film qui vont changer la vie d’une femme.
C’est pourquoi nous avons choisi des musiques très différentes : du mystère au début, de la peur ensuite, puis de la joie mais aussi du suspense et de la tristesse.
On a aussi appris quelques techniques comme augmenter le son pour rendre l’émotion plus forte, créer de la musique à l’aide d’un ordinateur en choisissant différents instruments comme le piano, le violon, le violoncelle…etc ou synchroniser la musique avec l’image.
notre classe
« Dobar den » (Bonjour en bulgare),
Nous sommes les élèves de la classe de CM2 B du lycée français Victor Hugo à Sofia.
Nous habitons à Sofia, la capitale de la Bulgarie.
Notre pays est très petit mais très joli et depuis les fenêtres de notre classe on peut voir le mont Vitosha qui s’élève à 2290 mètres d’altitude.
Nous sommes très heureux de participer au projet « Au loin s’en vont les nuages, les enfants du monde filment le climat »
Pour créer des minutes Lumière, nous n’avions pas beaucoup d’idées au début. Heureusement, nous avons réussi à trouver un bon endroit, à être patient et comme la chance était aussi avec nous, nous avons réalisé des films très différents. Voici quelques titres pour vous donner l’eau à la bouche:
« Si je t’attrape, je te mange », « Nananananère », « Le but », « C’est l’heure », »A travers la vue d’un dalmatien »
Pour le deuxième exercice, on a rencontré quelques difficultés comme bien tenir la caméra ou bien jouer la tristesse. Vous verrez, on a réussi à trouver des acteurs qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes.
On a aussi appris beaucoup de choses:
– Il faut savoir prendre des risques: c’était parfois difficile mais la pluie et le froid ne nous ont pas arrêté. (toute la classe)
-Au cinéma tous les rôles sont importants même si on ne se voit pas à la caméra (Sophia et Iskra)
-On a compris grâce aux frères Lumière qu’on pouvait faire un film sans paroles (Andgelo et Kalina)
– Les figurants et la musique rendent le film beaucoup plus vivant (Yoanna, Nicole et Rossitza)
Désolé, la cloche a sonné, on doit aller filmer.
La prochaine fois, on vous parlera des exercices de cinéma que nous faisons avec le réalisateur bulgare Asparouh NIKOLOV et notre maître Eric.
« Dovichdane » (Au revoir)
Catégorie : 1.Présentation des ateliers
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C’est parti pour le Collège Pagnol, l’école F. Arago de Bompas et le collège La Garrigole
Les trois classes participantes au dispositif dans les Pyrénées-Orientales se sont réunies dans la salle Marcel Oms de l’Institut Jean Vigo le mardi 6 octobre pour une journée autour du thème de l’année « Au loin s’en vont les nuages, les enfants du monde filment le climat ».
Frédéric Borgia, Christian Assalit, Philippe Boumaza ont présenté et analysé plusieurs courts-métrages et extraits de films avec les élèves de CE2 de Bompas, les élèves de 3ème du collège M. Pagnol et les élèves de 6ème du collège La Garrigole.
Ils ont visionné les Courts- métrages « Slow burn » de Chris Chew – « La lampe au beurre de Yack » de Hu Wei – « Juillet » de Darejan Omirbaev.
Les extraits : « Monika » d’Ingmar Bergman – « Le petit fugitif » de Ray Ashley et Morris Engel – « Breakfast at Tiffany’s » de Blake Edwards – « Etre et avoir » de Nicolas Philibert – « Casablanca » de Michael Curtiz – « Le déjeuner sur l’herbe » de Jean Renoir – « Le genou de Claire » d’Éric Rohmer – « Melancholia » de Lars Von Trier – « La ruée vers l’or » de Charlie Chaplin – « Citizen Kane » d’Orson Welles.
Les élèves ont pu ainsi commencer à appréhender les différentes façons de filmer les éléments du climat et envisager le travail à accomplir cette année.
Catégorie : ...En cours..., Hors classement
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Bientôt en ligne, Le nouveau blog du Cinéma, cent ans de jeunesse 2015/2016
« Au loin s’en vont les nuages,
les enfants du monde filment le climat »
La question du climat et de la météorologie est une question essentielle de cinéma.
Elle révèle à travers le monde et les cinématographies, des paysages, des lumières, des façons d’être au monde, d’habiter et de mettre en valeur un territoire, de le transformer, des stratégies de survie et de préservation. Elle illustre ainsi l’universelle mais diverse influence du climat sur les hommes, sur leur état psychique, leur comportement, et leur interprétation du ciel, rationnelle ou symbolique.
On travaillera tout au long de cette année sur cette question en l’articulant notamment à celle du rapport intérieur/extérieur dans la création cinématographique. Elle permettra de rendre les enfants sensibles à la météo et au climat de leur cadre de vie, dont ils sont souvent peu conscients car il s’agit de leur vie quotidienne, et donc banalisée par l’habitude.
Nous accueillons cette année de nouveaux partenaires et de nouveaux participants:
La Corse, le Mexique, la Lituanie et la Finlande.
Partenaires :
Allemagne : Deutsche Kinemathek-Museum für Film und Fernsehen et Arsenal-Institut für Film und Videokunst, à Berlin, Université de Brême /
Belgique : Service de Culture Cinématographique et Cinémathèque royale de Belgique à Bruxelles / Brésil : Imagens em Movimento (association Raiar) avec la Cinemateca do Museu de Arte Moderna à Rio de Janeiro (MAM-Rio) / Escola Carlitos avec la Cine¬mateca brasileira à São Paulo /
Bulgarie : Lycée et Institut français de Sofia /
Cuba : Escuela Internacional de Cine y Tv avec la Cinemateca de Cuba (ICAIC) /
Espagne : Cinema en curs (association A Bao A Qu) avec la Filmoteca de Catalunya à Barcelone / Finlande : IhmeFilmi ry et la Cinémathèque finlandaise, à Helsinki /
France : La Cinémathèque française à Paris / Cinéma Jean Renoir à Martigues / Cinéma Mon Ciné à Saint Martin D’Hères / CMAC-Scène nationale de Martinique / Corsica.Doc et Cinémathèque de Corse / Institut Jean Vigo-Cinémathèque euro-régio¬nale à Perpignan et association Docs aux sels à Nîmes / Le Lux, Scène nationale de Valence / Vidéo Les Beaux Jours–Pôle régional d’éducation artistique et de formation au cinéma à Strasbourg
Lituanie : Meno Avilys à Vilnius /
Mexique : EduKino avec la Cineteca Nacional de México /
Portugal : Association Os Filhos de Lumière avec la Cinemateca Portuguesa-Museu do Cinema à Lisbonne /
Royaume-Uni (Angleterre et Écosse) : British Film Institute à Londres et Centre for the Moving Image à Edimbourg.
Ce projet est labellisé par la COP21.
Lancement des ateliers sur le climat : journées de formation à La Cinémathèque française (18 et 19 septembre 2015)
Programmation de films sur le climat à La Cinémathèque française : décembre 2015.
Catégorie : ...En cours...
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Inspiration pour notre film-essai
Dans la séquence 1 ( l’impossible rencontre), l’objectif était de poser le contexte entre deux collégiens que tout oppose, mais qui pourraient devenir amis. L’important était de les montrer dans leur environnement quotidien, mais de montrer dès le départ que leur rencontre n’est pas évidente.
Dès le plan depuis la roue de vélo, on voulait montrer qu’il y avait une entrave entre eux, une séparation. Ils allaient être les sujets principaux, mais en même temps ce serait difficile de les avoir ensemble dans un même plan ( soit séparés par l’arbre, soit rencontre repoussée, éloignée depuis le point de vue de la roue de vélo).
Dans un extrait de Tetro, vu en classe, les deux frères n’arrivent pas à se rencontrer et le réalisateur prend soin de ne pas les disposer dans le même plan dès le début. Il y a toujours quelque chose qui fait obstacle ( un élément du décor, un cadrage particulier).
Dans Duel, nous avions été intrigués par ce plan qui nous empêchait d’appréhender le personnage qui était comme pris au piège. A travers la roue de vélo, les 2 personnages sont destinés à se rencontrer. Nous, spectateurs, on le sait, on a un temps d’avance…
Ensuite, il s’agissait de suivre Emma de dos au plus près, puisqu’elle devient le personnage principal. Elle défait ses cheveux à l’entrée du collège, au moment où elle se donne une personnalité de façade, qui n’est pas celle qu’elle a montré juste avant l’entrée dans le collège. La suivre permettait de montrer sa popularité dans le collège, en croisant tous ses copains. On voulait une caméra très mobile et vivante. C’était difficile d’avoir ce rendu, sans trop donner le tournis au spectateur. En même temps, on est ainsi plongé dans le brouhaha de leur conversation. On sent alors que venir à l’école est secondaire; ce qui compte, c’est retrouver ses copains. Elle est cependant attirée par un garçon contraire à son groupe qu’elle ne se donne pas le droit de regarder. Ici, nous voulions jouer sur la distance émotionnelle et la distance réelle. Ainsi, au moment où Emma croise le regard de Yohann qui passe, on voulait baisser un peu le son des paroles de son groupe, et les rendre proches l’un de l’autre.
Avant le travail de storyboard, en petit groupe, nous avons revu une scène de Blancanieves, que nous étions allés voir au cinéma ( le moment où le père retrouve sa fille, un moment très fort en émotion, où la distance réelle s’efface un moment pour l’émotion, puis le réalisateur revient à la distance réelle).
Il fallait finir sur une nouvelle séparation entre les deux personnages. C’est le plan des escaliers, où on voulait montrer qu’ils ne prenaient pas le même chemin pour aller en cours en fonction du groupe auquel ils appartenaient. L’influence du groupe est plus forte que les sentiments naissants.
Dans la séquence 2 ( le dilemme d’Emma), il fallait se concentrer sur elle pour mieux la cerner. Elle revoit son bulletin avec la conseillère d’orientation qui la met face à son échec scolaire. Nous voulions montrer que ce moment est violent pour elle qui claque la porte. Dans la cour, nous voulions créer comme un élastique entre elle et son groupe. Elle sort dans la cour bien décidée à mettre de la distance avec son groupe, mais n’y arrive pas. La courte et longue focale ( ce que nous avions appris lors des exercices) nous permettaient de faire la mise au point sur Emma en avant-plan, lorsqu’elle avance vers la caméra et de garder le groupe flou en arrière plan pour montrer qu’elle veut mettre de la distance, de l’intervalle; Puis, nous avons eu du mal avec la caméra et la lumière pour ensuite créer le « net » sur le groupe en arrière-plan au moment où Emma décide de finalement les rejoindre.
Dans la séquence 3 ( la naissance d’une rencontre), nous voulions revenir sur Yohann et ses amis, et montrer une scène d’envie alors qu’Emma observe Yohann en train de travailler et d’être félicité pour son travail. A ce moment-là, le film prend une dimension plus sentimentale . Là encore, nous avons voulu jouer avec la distance émotionnelle entre Yohann et Emma et le retour à la distance réelle quand Yohann la voit s’éloigner avec ses amis. Cela peut faire penser au dernier plan de la séquence visionnée d’ Au travers des Oliviers, où on découvre la distance réelle qu’il y a entre lui et la femme aimée.
Dans la séquence 4 , il fallait aboutir à un éloignement définitif d’Emma par rapport à son groupe. Nous voulions finir dans le plan final par un inversement du plan dans la cour de la séquence 2. Yohann en arrière-plan est flou en longue focale, et il devient net quand il se rapproche d’Emma. Cette fois, ce n’est plus Emma qui décide de l’éloignement, mais Yohann qui prend les devants. La rencontre impossible peut enfin se faire au delà du regard des autres.
Dans les deux cas, Yohann devient une rencontre enfin possible pour Emma.
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Préparation film-essai
Retour sur la préparation de notre film-essai.
Synopsis de Dilemme:
Une élève, ne travaillant pas durant sa 3ème, apprend que ce n’est pas possible d’aller en seconde générale. C’est une nouvelle qu’elle refuse d’admettre. Elle préfère dire qu’elle se fiche de sa scolarité devant ses amis. Mais peu à peu, elle comprend qu’elle se laisse trop influencer par ce groupe d’amis qui la maintient dans cette situation d’échec. Elle va être cependant attirée par un élève, très éloigné de ses fréquentations habituelles, et va se laisser surprendre par ses propres réactions.
L’idée de base:
Cette idée de base est venue du fait que certains élèves de 3èmes stressent beaucoup sur l’orientation en fin de collège. C’est une préoccupation importante cette année là pour nous.
En ce qui concerne le sujet de l’Intervalle, il y a toujours un écart entre la façon de se comporter au collège en individuel ou en collectif. Nous sommes partis du constat que certains élèves, en collectif, disent qu’ils se fichent des cours, de leur réussite, mais en discussion plus intime, ils peuvent aussi dire le contraire. Souvent, au collège, on se forge une « façade » face aux autres, et on crée de « l’intervalle » pour se protéger, on joue un rôle. Ainsi, la personnalité affichée change en fonction de la distance mise par rapport au groupe. Ce n’est pas le cas pour tout le monde, mais pour certains, cette attitude très différente d’un groupe à l’autre, ou d’une personne à l’autre est marquée.
A partir de l’idée de base, nous avons divisé le travail en 4 séquences.
Séquence 1 : Devant le collège et dans la cour.
Ecriture synopsis et réalisation: Raphaël, Eloi, Mathilde.
Equipe tournage: Caméra: Raphaël, Eloi, Mathilde. Son: Eloi, Claire.
F, qui n’aime pas vraiment l’école, arrive en vélo au collège en même temps que G, un camarade de sa classe, plutôt bon élève. Ils vont poser leurs vélos l’un à côté de l’autre et les attacher. Pendant ce geste, G engage la conversation en demandant à F si elle a révisé le contrôle d’histoire-géo qu’ils ont aujourd’hui. F répond que non, car elle avoue n’avoir rien compris, donc avoir vite laissé tomber. Les 2 élèves vont ensuite pénétrer dans le collège. G va rejoindre son groupe d’amis, tandis que F poursuit son chemin et traverse la cour en disant bonjour à plein de monde. F est plutôt populaire. F va rejoindre au fond de la cour un groupe d’amis. La conversation s’engage sur le contrôle d’aujourd’hui. Les élèves sont saoulés d’avoir ce contrôle, et F est bien d’accord avec eux : « ça la saoule grave, mais de toute façon, elle s’en fout, c’est trop nul et pas intéressant ».G passe avec son groupe devant le groupe de F et sourit à F. F répond par un sourire gêné.La sonnerie retentit. Ils partent en classe et montent les escaliers du bloc scientifique.
Séquence 2 : dans le bureau de la Conseillère d’orientation/ Dans le couloir/ puis dans la cour.
Ecriture synopsis et réalisation: Arthur et Lounès.
Equipe tournage: Caméra: Arthur. Son: Théo et Lucas.
F est assise face à la Conseillère d’orientation et son PP, qui examinent son bulletin avec elle. F prend conscience que son bulletin est très mauvais et que le conseil de classe s’est prononcé négativement pour la seconde générale. F est énervée. Elle exprime une colère rentrée, et est dégoutée d’apprendre qu’il faut qu’elle choisisse une voie pro. Elle ne sait pas encore quel domaine lui plaît. Elle dit ne pas vouloir décider tout de suite et surtout ne veut pas redoubler. Elle quitte le bureau en claquant la porte.F poursuit son chemin dans le couloir, et claque une nouvelle fois une porte battante au bout du couloir avant de disparaître. Nous retrouvons F qui ressort dans la cour par la petite porte en bois. Son groupe d’amis est installé sur un banc à côté de la porte en bois. La caméra est loin. On voit F sortir, mais elle ne les calcule pas. Elle part en direction de la cantine, alors qu’on voit son groupe d’amis en arrière-plan qui la regarde partir. Elle s’arrête au moment où une de ses copines du groupe l’interpelle, et lui demande pourquoi elle ne s’arrête pas et semble énervée. Elle fait demi-tour et revient vers le groupe. Possible discussion dans le groupe, où F dit qu’elle vient de voir la conseillère d’orientation, mais que de toute façon elle s’en fout, qu’on la saoule avec son orientation.
Séquence 3 : dans le CDI et la cour. Séquence d’envie.
Ecriture synopsis et réalisation: Judith, Eleonore.
Equipe tournage: Caméra: Judith, Eleonore. Son: Emine .
G du début est avec des camarades au CDI dans le coin lecture BD. Ils sont en train de travailler sur un exposé. Ils sont encadrés par le professeur qui les félicite. Cette scène peut être vue par F qui observe par la baie vitrée depuis la cour et l’extérieur. F est dans ses pensées en regardant cette scène, quand tout à coup une copine ou un copain de son groupe l’interpelle pour lui demander à quoi elle rêve. « Tu veux aller au CDI, tu veux devenir intello ou quoi ? ».A ce moment, vision de G qui voit F s’éloigner avec son groupe.
Séquence 4 : dans un parc.
Ecriture synopsis et réalisation: Chloé, Elsa et Benjamin.
Equipe tournage: Caméra: Elsa, Chloé. Son: Thomas.
Plan d’ensemble où on voit le groupe de F assis sur un banc. Sur un banc un peu plus loin, on voit G en train de lire tranquillement. F pénètre dans le champ, passe devant G, lui fait un petit salut, et rejoint son groupe sur le banc un peu plus loin.Le groupe de F discute sur le banc. Vision subjective de F qui regarde G en train de lire sur son banc, et qui n’écoute plus vraiment son groupe d’amis. Puis le groupe d’amis se met à parler de G en se moquant, en disant que G n’a vraiment rien d’autre à faire que d’être tout seul sur son banc. Plan de G depuis le groupe qui devra différer du plan subjectif d’avant depuis F.F se met en colère subitement. Elle ne voit pas pourquoi ils s’acharnent sur G qui ne leur a rien fait. Elle part sans vraiment s’expliquer, et s’éloigne du groupe. Les autres la regardent s’éloigner pendant un moment.G finit par surgir dans le cadre en courant derrière elle. En fond, on voit G et F qui discutent loin du groupe.
Nous avons regroupé tout ce travail dans un porte-vue qui nous a suivi durant tout le tournage, c’est à dire 2 lundis après-midis.
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Film essai : « Mets les gants »
Nous sommes fiers de vous présenter notre film essai « Mets les gants » !
Nous remercions la Cinémathèque française de nous avoir accompagnés et épaulés cette année, nous remercions aussi le collège Barbara, le conseil général et l’académie de Créteil.
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