Commentaires sur : Parce que c’était Henri Langlois.

Par : Dario Marchiori

Dario Marchiori — Sat, 10 Sep 2011 09:23:10 +0000

Je ne trouve qu’ici le nom de Lotte H. Eisner, co-fondatrice de la Cinémathèque Française dont elle a été conservatrice en chef pendant 30 ans, et j’en profite pour signaler que 111 lettres d’elle sont en vente sur un site allemand, et que 4 heures d’entretiens avec elle de Carole Roussopoulos attendent d’être restaurées. Peut-être la bonne occasion pour tout cela, comme cela arrive souvent, pourrait être le trentenaire de sa mort, en 2013. D’ailleurs on pourrait aussi traduire ses mémoires, et un choix de textes critiques (capricci?).
Veuillez agréer mes salutations les plus cordiales

Par : Djemaa Pascal

Djemaa Pascal — Tue, 18 Nov 2008 11:23:33 +0000

Henri Langlois aurait été tué par le dramatique incendie de 1980! Bravo pour ces lignes! Pascal.

Par : Serge Toubiana

Serge Toubiana — Thu, 20 Mar 2008 15:27:04 +0000

Perplexe parce que je parle d’un droit de réserve ? C’est pourtant clair : j’essaie de me tenir à distance d’un point de vue « institutionnel », car cela ne peut pas être la vocation d’un blog.
S.T.

Par : Hannah

Hannah — Wed, 19 Mar 2008 22:09:38 +0000

Hum! votre écrit me laisse perplexe… quel devoir de réserve ? Je recommande en plus du film de Jacque Richard le passionnant ouvrage de Mr Glenn Myrent écrit avec le frère d’H. Langlois, « HENRI LANGLOIS . Premier citoyen du cinéma », véritable roman de cinéma.

Par : Serge Toubiana

Serge Toubiana — Wed, 13 Feb 2008 21:53:15 +0000

Vous avez raison de le souligner : le film de Jacques Richard est disponible en DVD.

Par : Cédric

Cédric — Wed, 13 Feb 2008 21:30:13 +0000

A noter également que le documentaire de Jacques Richard « Le Fantôme d’Henri Langlois » relate cette Affaire Langlois d’une manière passionnante. Le fait de voir Léaud, Godard, Chabrol ou Cohn-Bendit dans les rues est un témoignage intemporel du dévouement sincère d’Henri Langlois pour le Cinéma
(Félicitations pour votre blog et votre article paru dans les Cahiers, consacré au défunt Christian Bourgois).