Commentaires sur : Jean-Pierre Melville, avec ou sans Alain Delon http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2010/11/04/jean-pierre-melville-avec-ou-sans-alain-delon/ Un site utilisant Réseau Blogs de la Cinémathèque française Thu, 31 Dec 2015 10:24:44 +0000 hourly 1 Par : habar jean-michel http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2010/11/04/jean-pierre-melville-avec-ou-sans-alain-delon/#comment-1131 Tue, 13 Sep 2011 17:38:57 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=208#comment-1131 connaissant Jean-Francois Delon dans les années 80 à Paris entre autre à molitor avec blondy et autres, s’il peut me contacter pour me donner de ses nouvelles cela me ferait plaisir à bientôt jean-michel.

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Par : Tina http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2010/11/04/jean-pierre-melville-avec-ou-sans-alain-delon/#comment-1130 Wed, 29 Dec 2010 14:53:13 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=208#comment-1130 En réponse aux éloges de Monsieur Toubiana faites à Alain Delon :
Je pense au contraire que Delon est le maillon faible de ce film. Que Bourvil et Périer disparaissent derrière leurs personnages, on s’y attendait. En ce qui concerne Montand, c’est inhabituel et bravo à Melville pour être arrivé à lui faire quitter son habit de star. Montand est « liquéfié », mais Delon, non. Delon fait du Delon… Je pense que cela plaisait à Melville qui avait une certaine fascination pour le côté grande star de cet acteur : la lecture du Nogueira le montre.

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Par : Catherine http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2010/11/04/jean-pierre-melville-avec-ou-sans-alain-delon/#comment-1129 Thu, 25 Nov 2010 15:11:02 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=208#comment-1129 Bonjour,
On m’a parlé d’un livre récent paru sur Le Samouraï, je ne l’ai trouvé nulle part. Quelqu’un en a entendu parler ?

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Par : Dsata http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2010/11/04/jean-pierre-melville-avec-ou-sans-alain-delon/#comment-1128 Sun, 21 Nov 2010 15:24:28 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=208#comment-1128 A noter : sur France Culture, « Mauvais genres » par François Angelier : spécial Jean-Pierre Melville : le samedi 20 novembre 2010.
A l’occasion de l’hommage qui lui est rendu à la Cinémathèque française, du 3 au 22 novembre, et de la parution, aux éditions « Yellow now », d’un volume d’études, « Riffs pour Melville », « Mauvais genres » évoquera trois chefs-d’oeuvre noirs de l’homme stetson blanc : « Bob le flambeur », « Le Doulos » et « Le Cercle rouge ».
(avec la collaboration de J.B. Thoret et de P. Rouyer)
http://www.franceculture.com/emission-mauvais-genres-jean-pierre-melville-2010-11-20.html

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Par : Philippe http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2010/11/04/jean-pierre-melville-avec-ou-sans-alain-delon/#comment-1127 Fri, 12 Nov 2010 09:49:47 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=208#comment-1127 Il ne faudrait surtout pas que les propos de Jean-Pierre Melville puissent créer un malentendu, et bien dire ou redire à quel point Gian Maria Volontè était un acteur formidable.
Je viens d’ailleurs de voir que la cinémathèque de Corse lui rendait actuellement hommage (http://casadilume.free.fr/OctNovDec2010/Volonte.html).
Voilà une belle idée de programmation pour une cinémathèque, n’est-ce pas Monsieur Toubiana ?

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Par : Vince Vint@ge http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2010/11/04/jean-pierre-melville-avec-ou-sans-alain-delon/#comment-1126 Thu, 11 Nov 2010 19:41:39 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=208#comment-1126 Delon a préféré aller pavaner en Chine avec Sarko, c’est son choix, mais on est en droit de le regretter.

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Par : Agève http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2010/11/04/jean-pierre-melville-avec-ou-sans-alain-delon/#comment-1125 Wed, 10 Nov 2010 21:42:59 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=208#comment-1125 Si « Le Cercle rouge » est bien le dernier film de Bourvil par ordre de sortie sur les écrans, il a été tourné avant « Le Mur de l’Atlantique », de Marcel Camus, sorti une semaine plus tôt.
Il me semble que « L’Armée des ombres » et « Le Deuxième souffle » sont supérieurs au « Cercle rouge », trop schématique. A part celui joué par Montand, les personnages manquent d’épaisseur. Et puis les dialogues sont d’une telle platitude…

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Par : Gould http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2010/11/04/jean-pierre-melville-avec-ou-sans-alain-delon/#comment-1124 Mon, 08 Nov 2010 16:46:19 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=208#comment-1124 En assistant hier à la seconde projection du magnifique Cercle Rouge, je me suis dit combien la cinémathèque avait changé depuis ses nouveaux habits.
Sans doute grâce à une communication efficace, beaucoup de publicité, des expositions « blockbuster » (Almodovar à l’affiche 2 fois, ça doit faire vendre), elle a réussi à attirer vers elle de nouveaux curieux. On ne va pas s’en plaindre bien sûr, mais peut on aussi ressentir de la nostalgie pour l’intimité de Chaillot (et pourtant je ne suis pas si vieux!). Enfin, c’est du passé.
Conséquence, quand il y a quelques mois on pouvait voir un Melville tranquille, il faut maintenant venir 30mn à 1h avant le début d’une séance pour espérer une place. C’est étrange comment ce cinéaste, par exemple, n’intéressait pas grand monde il y quelque temps, et maintenant fait salle comble. L’effet Télérama? Allez savoir…
Autre effet collatéral, abonné, il faut maintenant compter sur la chance pour obtenir une place à une soirée (et pourquoi pas premier arrivé premier servi plutôt qu’une loterie ?). Soirées, dont maintenant la moitié des places semble réservée aux VIP (qui mettent d’ailleurs rarement les pieds ici hormis ces invitations).

Bon voilà, c’est juste un constat, pas une critique, en espérant que ça n’empire pas avec le temps et que la cinémathèque continue d’alterner des programmes fédérateurs, mais aussi exigeants.

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Par : Rédoine Faïd http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2010/11/04/jean-pierre-melville-avec-ou-sans-alain-delon/#comment-1123 Mon, 08 Nov 2010 14:00:00 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=208#comment-1123 Melville, c’est avant tout une maitrise de la mise en scène rarement égalée. « Le Cercle rouge » est un pur chef-d’oeuvre. Malgré sa disparition, Melville reste un modèle pour les plus grands et demeure une source d’inspiration permanente pour des cinéastes « Melvilliens » comme Tarantino, John Woo et -bien sûr – Michael Mann. (http://archive.filmdeculte.com/portrait/portrait.php?id=81)

Non seulement ses films refètent tellement bien la réalité, mais en plus ils ont terriblement bien vieilli. Un perfectionniste doublé d’un visionnaire hors-pair, à qui j’ai rendu hommage de manière assez insolite récemment dans un ouvrage. Mon seul regret : qu’il n’est pas vécu plus longtemps…

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