Commentaires sur : Après lecture du texte de Vincent Maraval dans Le Monde http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2012/12/30/apres-lecture-du-texte-de-vincent-maraval-dans-le-monde/ Un site utilisant Réseau Blogs de la Cinémathèque française Thu, 31 Dec 2015 10:24:44 +0000 hourly 1 Par : Wagner Edelman http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2012/12/30/apres-lecture-du-texte-de-vincent-maraval-dans-le-monde/#comment-1585 Sun, 08 Nov 2015 16:00:47 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=1039#comment-1585 Cher Serge Toubiana,
Les amateurs passionnés de cinéma dont je fais partie avec Bernard Edelman,mon époux, défenseur comme vous des auteurs et artistes, avec aussi un grand nombre de cinéastes et de cinéphiles, vont regretter l’absence d’un grand gestionnaire à la fois idéaliste et pragmatique, un grand professionnel et un humaniste.
Espérant vous revoir tout de même sur le grand écran ou à la télévision, nous vous souhaitons une très belle seconde vie pleine de bonheur et de liberté. Vive la vie!

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Par : BrokerComparatif http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2012/12/30/apres-lecture-du-texte-de-vincent-maraval-dans-le-monde/#comment-1584 Mon, 11 Mar 2013 15:55:01 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=1039#comment-1584 Je vois que je n’ai pas était le seul a être choquer sur l’article paru dans le monde !
Cela date un peu, mais personnellement je rejoins vos dires.

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Par : Vince TOMA http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2012/12/30/apres-lecture-du-texte-de-vincent-maraval-dans-le-monde/#comment-1583 Sat, 12 Jan 2013 17:11:06 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=1039#comment-1583 @ Serge Toubiana : croiser Tarantino dans un resto et papoter avec lui : veinard ! Et chapeau… si cela se fait (un rendez-vous cine a la Tek avec Tarantino ; mais bon, faudra s’attendre au meme monde qu’avec Tim Burton! Prévenez-nous a l’avance pour qu’on prepare sur le parvis, pour tenir, tipis, ponchos, cigarillos, calumets de la paix, mitaines et autres cache-poussières…).

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Par : serge toubiana http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2012/12/30/apres-lecture-du-texte-de-vincent-maraval-dans-le-monde/#comment-1582 Sat, 12 Jan 2013 13:13:44 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=1039#comment-1582 Cher Monsieur, il n’est pas prévu que Quentin Tarantino vienne présenter Django Unchained à la Cinémathèque. Ce n’est pas prévu, et cela ne s’improvise pas. Quant à l’idée d’inviter un jour Quentin Tarantino, oui, nous y pensons. Lui aussi y pense – c’est ce qu’il m’a dit, dimanche dernier, lorsque je l’ai croisé dans un restaurant à Paris. On va s’en occuper. S.T.

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Par : Yannick http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2012/12/30/apres-lecture-du-texte-de-vincent-maraval-dans-le-monde/#comment-1581 Fri, 11 Jan 2013 09:42:52 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=1039#comment-1581 Et si, tout simplement, on reprenait une idée que vous ne développez pas : financer les films au prorata des fonds propres apportés par les porteurs de projet ?

Je rejoins en tout cas tout à fait votre analyse sur le mal qu’a pu faire la nouvelle vague à notre industrie cinématographique. Pour revenir au sujet initial, je crains que les récompenses reçues ici et là par les différents films non rentables ne rendent inaudibles les propos de Maraval en donnant du grain à moudre à ses détracteurs. Lesquels oublieront un peu vite que recevoir une flopée de prix n’a jamais rendu rentable un film qui ne l’était pas.

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Par : Mooriarty- auteur réalisatrice http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2012/12/30/apres-lecture-du-texte-de-vincent-maraval-dans-le-monde/#comment-1580 Thu, 10 Jan 2013 16:29:38 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=1039#comment-1580 J’ai lu avec beaucoup d’intérêt l’article de Vincent Mareval et les réactions qu’il a suscités.
Là où je rejoints Monsieur Maréval mais qu’il explique assez maladroitement car lui même en a bénéficié pour hisser sa société de distribution Wild Bunch, là où elle se trouve, c’est que le Cinéma Français est devenu un monde à 2 vitesses. Un monde très inégalitaire, où une minorité ultra médiatisée fonctionne telle une aristocratie, et une majorité vit en dessous du seuil de pauvreté et ce durant des années.

Les producteurs en France n’ayant pas d’argent propre ou personnel à investir comme aux Etats-Unis, dans les films qu’ils « produisent »…. L’idée géniale au départ : créer avec un financement basé sur des « subventions », la plus part publique (nationale ou provenant de l’UE), et une minorité privée. Une subvention pour un film revient à passer un concourt pour l’auteur-réalisateur qui a écrit le film.
Cette idée géniale est devenue perverse et créatrice d’inégalités, à partir du moment où les subventions ont été soumises à une condition : obtenir une diffusion télé.

Cela a créé un cinéma où une minorité de producteurs, réalisateurs qui avaient dans leurs réseaux les programmateurs TV, ont eu les subventions et donc les budgets et les acteurs qui vont avec (les mêmes depuis 30 ans) ; et une majorité de films (fiction et documentaire) produits avec trois francs six sous, où les auteurs-réalisateurs travaillent des années sans rien toucher, les producteurs étant adeptes du risque zéro, et les techniciens payés au rabais « par Amour du Cinéma » !

Et là nous sommes bien dans la particularité, un peu prétentieuse, du Cinéma Français : un réalisateur doit être à la fois un excellent scénariste, un très bon réalisateur et avoir la culture générale nécessaire pour être « une plume ». De ce fait il faut être extrêmement brillant, en gros un génie, pour avoir ces trois qualités au sein de la même personne… Cette « particularité » pour ne pas dire « obligation », n’existe pas dans les pays anglo-saxons, il existe trois catégories, là ou en France il n’y en a qu’une « théoriquement ». En effet, aux Etats-Unis, un scénariste peut porter un projet, convaincre un producteur et trouver un réalisateur de talent, sans que ce dernier ne participe à l’écriture et au processus de recherche de financement. A l’inverse un réalisateur peut avoir envie de travailler un scénariste, participer à l’écriture ou pas, convaincre un producteur et participer à la recherche de financement, ce cas est généralement celui de Martin Scorsese. Ou encore un producteur avoir envie d’un film et trouver le scénariste et le réalisateur.

En France, cette multitude de possibilité n’existe plus depuis le succès de la Nouvelle Vague, car un réalisateur doit être aussi son propre scénariste, sinon c’est considéré comme du Cinéma de « moins grande noblesse artistique », donc commerciale.
Stanley Kubrick n’a pratiquement jamais eu l’idée du scénario original, il a toujours adapté, pour autant il n’a jamais fait de cinéma dit commerciale !

Malgré un monde et une économie en mutation, en France, on maintient « cette exception » du réalisateur, hyper doué et très littéraire. De sorte que beaucoup d’écrivains sont devenus des réalisateurs…
Donc le réalisateur-scénariste est présent sur toutes les étapes de la production du film, il va mettre des années : 3 ans pour les chanceux et ceux qui ont réussit (ex Lioret) et plus : 5, 6 ,7, 8, 9, 10 et plus pour les autres.
Du coup sur le premier et deuxième film, les producteurs ne paient pas le travail de scénariste et de réalisateur sur la durée, car ils n’en ont pas les moyens !

Théoriquement les producteurs doivent payer les droits d’auteurs aux scénaristes-réalisateurs dès qu’ils acceptent leurs sénarii et déposent aux commissions de subventions…Mais cela est de la théorie ! En réalité, surtout pour les jeunes auteurs réalisateurs, les producteurs ne paient les droits d’auteurs que lorsqu’ils ont reçu les premières subventions…
Les scénaristes-réalisateurs qui créent de l’emploi, au minimum 10 emplois, sur leur premier film vont toucher pour des années de travail moins que certains techniciens. Sur un documentaire de création, il va toucher 5 000 euros pour 3 ans de travail, alors que le monteur pour 10 semaines touchera un salaire proche de 10 000 euros…

Sur ces premiers films, surtout dans les films documentaires dit de création dont les budgets médians se situent à 70 000 euros, se sont les techniciens-tournages qui voient leurs salaires divisés par 10…Un régisseur à 200 ou 400 euros par semaine, un ingénieur-son à 750 euros par semaines, et aucun postes d’assistants : trop chers !

Alors lors des troisièmes films et autres, les réalisateurs ne se gênent pas pour imposer leurs salaires, ni les techniciens d’ailleurs, mais qui peut leur en vouloir ?.

La seconde conséquence de ce système, c’est qu’il a atrophié La Créativité, à force d’obligation de réseau, cela a imposé le Népostisme, le copinage et des lobbing pas très glorieux. Meilleurs exemple le film de Sylla, l’effet papillons, 90% des acteurs sont des membres de sa famille…
Dans ces conditons, si vous voulez être réalisateur, et que vous ne venez pas du serail, il vous faut apprendre l’art des scénario avoir de quoi vivre durant 5 ou 7 ans, le temps de toucher un salaire descend et de pouvoir vivre de votre métier… Du coup seuls, les enfants dits du métier et ceux des classes aisés peuvent le faire. Sinon le reste à pour option de faire du cinéma dit commerciale en allant voir Luc Besson, qui lui s’intéresse guère aux origines ethniques, et salarie ses jeunes réalisateurs…

Résultats : Peu de femmes auteur- réalisatrice, encore moins « issues » des minorités, et pour les « nouveaux acteurs », merci à Djamel, car ils sont tous issus de Canal Plus….Tiens donc….Comme cela est bizzare….

J’entends déjà ceux qui défendent corps et âmes le CNC, dont les commissions sont guères transparentes et les jurés, encore moins, qu’ils vont me dire mais que fais tu de l’Aide à la Diversité ?!
Hahaha !!!! Vaste Blague, l’aide à la diversité est soumis à la condition d’avoir une diffusion ou un pré-achat télé…C’est sûr qu’une jeune réalisatrice de province ou de banlieue côtoie tous les jours les diffuseurs télés et que dans son réseau figurent des programmateurs télés…
La encore le résultat est que ceux qui ont cette subvention sont des réalisateurs confirmés et déjà subventionnés par le système, comme Abdelatif Kéchiche…Mais pas de jeunes inconnus….

Pourtant il existe des solutions :
– Créer des subventions séparés pour la production (et non l’aide à l’écriture) pour les trois catégories : scénariste, réalisateur, et auteur-réalisateur.
– Créer des subventions distinctes pour le premier film et second films, non soumis à condition d’obtention de diffuseurs tv. ET à charge pour le CNC d’obliger ces nombreuses chaines tv de la TNT, une fois un film subventionné de le diffusé et ou de le pré-acheté…
– A charge pour le CNC de demander systématiquement la preuve de paiement des droits d’auteurs de la part des producteurs avant de déposer une demande de subvention.
– De même lorsque le film est produit, imposer une transparence entre les comptes d’exploitations et les subventions obtenues. Car on le voit bien pour les salaires des techniciens, si des productions divisent des salaires par 3 voir 10, si ceux qui donnent des subventions pour ces salaires contrôlaient où passent l’argent, il y aurait aussi moins d’abus…
– Enfin sur les premiers et second films : anonymat lors de la lecture des dossiers par les membres du jury, pour atténuer l’effet réseaux et copinage…
– Revoir la grille des salaires et réduire l’écart entre les techniciens, acteurs, producteurs ect…
– Changer le fait qu’un auteur-réalisateur soit soumis aux mêmes conditions que n’importe quels techniciens pour son chômage.
Car malheureusement un auteur-réalisateur ne peut travailler sur le film d’un autre et l’intermittence, n’est calculé que sur le nombre de semaines de tournage, du coup ces années passés à écrire et à travailler sur le développement ne sont pas pris en compte dans ces salaires d’intermittence. Il faudrait soit allonger la durée d’intermittence, ou prendre en compte ces semaines de développement…

Mais là encore, il faudrait que les pouvoirs et les médias entendent notre voix, nous qui sommes si nombreux, nous qui sommes rien et qui aspirons à être tout !

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Par : Vince TOMI http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2012/12/30/apres-lecture-du-texte-de-vincent-maraval-dans-le-monde/#comment-1579 Thu, 10 Jan 2013 11:10:37 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=1039#comment-1579 Serge Toubiana, bonjour, je dévie un peu voire carrément du fil de la discussion, pardonnez-moi, mais c’est juste pour savoir : Quentin Tarantino viendra-t-il parler de son nouveau film, DJANGO UNCHAINED, à la Cinémathèque française ? Si oui, quel en est le programme ?
De plus, une master class QUENTIN TARANTINO est-elle possible prochainement à la Cinémathèque ? Ou bien une rétrospective de sa filmographie désormais assez touffue (8 longs métrages) ?
Enfin, que pensez-vous de son oeuvre et de son évolution en général ?

Dernièrement, Quentin Tarantino a fait savoir qu’il ne ferait que 10 films. Si on considère KILL BILL comme un bloc filmique, donc un seul et même film (en 2 parties), il lui en reste encore 3 à faire. Après, il a dit qu’il s’occupera de son propre cinéma aux States pour y projeter des films en 35 mm. Pour ma part, quand je lis ses derniers propos, je pense que cet homme de cinéma, ou je dirais même plus cet homme-cinéma ou Cinéman, se tournera de plus en plus vers des lieux-sanctuaires consacrés au 7e art. Le nec plus ultra de la Mecque Cinéma c’est la Cinémathèque française ! Je pense sincèrement qu’un jour il viendra pour s’y installer. Etes-vous prêt à l’accueillir en résidence et à lui offrir un poste de projectionniste ? Ce serait super de se gaver de films avec lui et avec son débit-mitraillette d’hysérique inimitable ?!

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Par : Pierre - Cinémapolis http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2012/12/30/apres-lecture-du-texte-de-vincent-maraval-dans-le-monde/#comment-1578 Mon, 07 Jan 2013 09:57:19 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=1039#comment-1578 Ce qui frappe dans ce débat, c’est que d’un papier dont l’objet était de dénoncer les dérives du système de financement des films français, c’est devenu tout simplement une controverse sur le salaire des acteurs. Celle-ci s’insère très bien avec le contexte de la Crise, où, jour après jour, on s’exaspère de ce que les très riches profiteraient des efforts des classes moyennes, auraient des avantages honteusement concédés par l’Etat, etc… Grosso, on serait pressurés pour le confort de quelques nantis. Le papier de Maraval est bien loin de tout ça. Hier encore, Alexandra Lamy sur le plateau de Marie Drucker cherchait à relativiser cette polémique en disant que les acteurs trop payés sont au maximum 2 ou 3. Maraval doit s’arracher les cheveux !

Je suis assez d’accord avec lui quand il dénonce l’absurdité qu’un film qui fasse 6 000 000 d’entrées ne soit pas rentable. Un peu moins par contre, quand il avance que les salaires des acteurs américains s’équilibreraient naturellement sur le budget des films. On s’étonne parfois de ce que des séries à succès comme Spiderman ou Jason Bourne soient « rebootées » mais c’est tout simplement que les studios ne sont pas en mesure de renégocier les salaires des stars de ces films. Un film comme Mon Beau-Père et Nous à 70 000 000 de dollars consacrées rien qu’aux cachets des acteurs principaux. Il n’y a aucun « équilibre », chacun bataille pour ses intérêts. Personnellement, je ne crois pas trop qu’on doive envier le système américain.

Que les télés exigent des stars, c’est une chose, mais la question, finalement, serait de savoir dans quelle mesure elles parviennent à imposer des exigences salariales disproportionnées ?

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Par : serge toubiana http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2012/12/30/apres-lecture-du-texte-de-vincent-maraval-dans-le-monde/#comment-1577 Mon, 07 Jan 2013 08:13:38 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=1039#comment-1577 Merci pour votre commentaire, dont je partage entièrement le point de vue. S.T.

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Par : Yannick POURPOUR http://blog.cinematheque.fr/sergetoubiana/2012/12/30/apres-lecture-du-texte-de-vincent-maraval-dans-le-monde/#comment-1576 Sun, 06 Jan 2013 23:58:00 +0000 http://blog.cinematheque.fr/?p=1039#comment-1576 Les propos de Vincent Maraval ont ouvert une boîte de Pandore, celle de l’identité et de ce qui fait notre Cinéma, et dans lequel j’avoue avoir de plus en plus de mal à me reconnaître quand je vois s’empiler, sur les écrans, les téléfilms de luxe, programmés dans les salles obscures uniquement pour en récupérer un peu de l’aura en vue de leur passage sur le petit écran, pour lequel ils sont formatés et calibrés, exigences des investisseurs obligent.

Je voudrais simplement signaler à votre attention l’excellent article de Pauline Escande intitulé « Les films français à gros budget : une contradiction », dans lequel elle pointait déjà, en 2007 (quoiqu’avec plus de précautions) certaines dérives dénonçées par M. Maraval.

Dans cet article, que vous pourrez trouver sur Persee.fr, elle propose un distinguo entre deux sortes de films : (je cite)

1. une orientation « néo-française » : dite classique et traditionnelle, à travers un cinéma d’auteur, qui « réfléchit » et qui est social ; ce cinéma est perçu comme l’image de marque du cinéma français,
2. une orientation « néo-hollywoodienne », qui propose un cinéma français
proche de la culture américaine, cherchant à se substituer aux grosses productions américaines. (fin de citation).

Si le premier genre est souvent mis en avant comme « de qualité », le second subit souvent la double peine des foudres de la critique (à cause des moyens mais aussi et surtout d’un manque d’auctorialité réêl ou fantasmé à cause de la pression de l’argent, et du désintérêt du public, qui préfère à ces pâles ersatz de films américains les originaux, bien plus spectaculaires, originaux, enthousiasmants, etc… Après le fiasco complet du premier film français en 3D, je cherche encore le « Hugo Cabret », ou « L’Avatar » français.

J’espère que le choc suscité par les propos de M. Maraval forcera notre cinéma à se remettre en question. Et que j’aurai enfin l’occasion de voir sur les écrans français de beaux grands films, et non plus ces machins à dialogues interminables ou à concepts intellectuels. Alors, peut-être aurons-nous la chance de voir un autre « The Artist » adoubé par l’AMPAS.

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