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Tournage de notre premier exercice

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Après avoir vu Moonfleet

Au mois de décembre, nous sommes allés à la Cinémathèque Portugaise, comme toutes les classes qui participent à Cinema, cent ans de jeunesse (Cinema, cem anos de juventude) au Portugal. Dans l’aprés-midi, une première séance montrait des films-essai réalisés l’an dernier en France, Italie, Grande Bretagne et Portugal.

Puis au début de la soirée, nous avons vu Moonfleet. La semaine suivante notre professeur et la cinéaste nous ont demandé nos remarques sur le film. Voici des exemples des questions et de nos réponses:

Dans la scène finale, qu’est-ce que le réalisateur a choisi de cacher
Na cena final o que é que o realizador decidiu esconder?
Il a décidé de cacher l’homme qui pleure parce qu’il laisse l’enfant.
Decidiu esconder o homem a chorar por deixar o míudo. (Ana Catarina)

Décrit ta scène préférée-
Descreve a tua cena preferida.
Ma scène préférée, c’est la scène finale quand l’enfant dit « parce qu’il est mon ami », parce qu’elle montre que l’enfant fait totalement confiance à Jeremy
A minha cena preferida é a final quando o miúdo diz “porque ele é meu amigo”, porque mostra que o miúdo confia plenamente no Jeremy. (Rosa)

petite histoire sur montrer/cacher dans Moonfleet: le poison (note de l’intervenante)
pequena história de mostrar/esconder no Moonfleet: o veneno

Avant d’aller à la Cinémathèque voir Moonfleet, nous avons montrer en classe un fragment du film (du début jusqu’au moment où Jeremy Fox sort de la taverne avec la gitane.
Je leur ai demandé d’être attentif à ce qui était caché et à ce qui était montré. Une fois la lumière rallumée, nous avons parlé du début très sombre qui permettait à peine de voir l’enfant, de la main qui apparaît de derrière le mur, de John Mohune à regarder et seulement ensuite de voir les visages des contrebandiers le regardant, des contrebandiers cachant John quand Jeremy Fox entre dans la taverne, de l’homme qui lance le couteau derrière le rideau. Ensuite nous avons parlé plus en détail de la scène de la conversation entre Jeremy Fox et John Mohune, de l’enfant ouvrant sa bourse et en tirant un mouchoir, et du mouchoir un anneau – et nous avons revu le plan pour voir comment Jeremy reconnaît le mouchoir et comment, pour lui, c’est la preuve de qui est la mère de John. Et quoi de plus est caché? Ils ont parlé du rideau qui est tiré, de l’histoire que Jeremy, de dos, lui raconte. Et soudain David a dit: On ne montre pas le poison!
– Le poison? ai-je demandé?
– Oui, on ne les voit pas mettre le poison dans la boisson de l’enfant.
– Mais oú est-ce qu tu as vu cela?
Je ne l’ai pas vu. C’est caché . répond David avec conviction.
Evidemment.
-D’accord. Mais qu’est-ce que tu vois qui te montre qu’il y a un poison caché? Pourquoi penses-tu qu’il y a un poison caché?
– Parce que l’enfant s’endort aussitôt aprés avoir bu.

Et de là est parti une grande discussion dans la classe. Certains n’étaient pas d’accord avec David, d’autres si.
– Et sinon, pourquoi est-ce qu’il s’endormirait aussitôt?
– Parce qu’il est fatigué- Tu n’as pas vu qu’il venait à pied et qu’il est arrivé de nuit? répondirent les autres.
Il y eut encore quelqu’un qui dit que John Mohune s’est endormi parce que, comme il avait trouvé Jeremy Fox, il pouvait dormir tranquille.

Antes da ida à Cinemateca ver Moonfleet, mostrámos na aula um excerto do filme (do início até ao momento em que Jeremy Fox sai com a cigana da taberna).
Pedi-lhes para estarem atentos ao que se escondia e ao que se mostrava. Já de luzes acesas, falaram do início muito escuro que mal dava para ver o miúdo, da mão que aparece por trás do muro, de John Mohune a olhar e só depois se verem as caras dos contrabandistas a olharem para ele, de o esconderem quando o Jeremy Fox entra na taberna,  do homem que atira a faca detrás da cortina. Depois falámos mais detalhadamente da cena da conversa entre Jeremy Fox e John Mohune, do miúdo abrir a trouxa e tirar de lá de dentro um lenço e do lenço o anel – e revimos o plano para ver como Jeremy reconhece o lenço e de como, para ele, é essa a prova de quem é a mãe de John. E o que mais está escondido? Falaram da cortina que é fechada, da história que o Jeremy de costas, lhe conta. E de repente o David diz: Não se mostra o veneno!
– O veneno? –  pergunto eu.
– Sim, não se vê eles a deitarem o veneno na bebida do miúdo.
– Mas onde é que viste isso?
– Não vi. Está escondido. – responde o David convictamente.
Claro!
– Ok. Mas o que é que tu vês que te mostra que há um veneno escondido? Porque é que achas que há um veneno escondido?
– Porque o miúdo adormece logo a seguir a beber.

E daqui seguiu-se uma grande discussão na turma, uns não concordava com o David, outro sim. Então porque é que ele adormece logo? perguntaram. Porque está cansado. Não viste que ele vinha a pé e chegou de noite? responderam os outros. Houve ainda alguém que disse que John Mohune adormecia porque como tinha encontrado o Jeremy Fox já podia dormir descansado. (Ana Eliseu)

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Images de nos exercices

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Impressions après notre premier exercice

Cacher permet aux gens d’imaginer. Par exemple si on met le son d’une chose qui tombe dans l’eau, les gens peuvent imaginer si c’était une chose lourde ou légère.
Dans mon film, j’ai montré le son d’un ballon mais j’ai caché l’autre partie du champ où la balle va taper.
Luis Silva
Esconder dá para as pessoas imaginarem. Por exemplo a gente põe o som de algumas coisas a cair na àgua e, as pessoas podem imaginar se foi por exemplo uma coisa pesada ou leve.
No meu filme mostrei o som da bola e escondi a outra parte do campo em que a bola foi bater.
Luis Silva

Montrer et cacher, pour moi, c’est par exemple un enfant qui court et qui tombe. Mais on le voit pas tomber, on l’entend seulement pleurer.
Dans mon film, j’ai montré Maureen en train de rire, mais nous ne savons pas pourquoi elle rit. J’ai caché Daniela qui chante.
J’ai compris que le cinéma n’est pas seulement ce que nous voyons.
Il faut être très intéressé pour réussir à réaliser un film. J’ai découvert que le cinéma est très important et très intéressant, car par exemple nous devons être très concentré pour penser un plan avant de décider de filmer parce qu’il ne suffit pas d’arriver et de filmer. J’ai aimé réaliser ce travail, travail parce que pour avoir un bon film, il faut beaucoup de travail.
Irma
Mostrar e esconder para mim é por exemplo um menino a correr, dá uma queda, mas não vemos ele a cair só o ouvimos a chorar.
No meu filme eu mostrei a Maureen a rir mas não sabemos porque ela estava  a rir . Eu escondi a Daniela a cantar.
Percebi que o cinema não é só aquilo que vimos. Temos que ter muito interesse para conseguir realizar um filme. Descobri que o cinema é muito importante e muito interessante
por exemplo temos que ter muita concentração pensar num plano antes de decidir filmar porque não é só chegar e filmar. Gostei de estar a realizar este trabalho porque para ter um bom filme é preciso muito trabalho.
Irma

Je pense que montrer/cacher c’est par exemple avoir une personne qui parle avec une autre, une des deux se fâche et donne une gifle à l’autre, mais on ne voit pas la personne donner la gifle, on ne voit que l’autre la tête déjà tournée avec déjà la main sur la joue et on a entendu le son de la gifle, mais on n’a pas vu la personne donner la gifle.
Dans mon film, j’ai montré Carla en train de dessiner au tableau de la classe. Elle dessine quand un camarade lui dit que c’est moche et elle fait un geste comme pour dire qu’elle se fiche de son commentaire. J’ai montré Carla en train de dessiner mais je n’ai pas montré le camarade qui fait le commentaire.
Avec cette expérience j’ai appris à être plus intéressé par les films quand je les vois, à regarder les détails, les moments de montrer/cacher, le son et les caractéristiques… je sais seulement dire que maintenant je sais plus de choses que je n’en savais avant, que j’espère en savoir encore plus et que maintenant je passe mes weekend à voir des films.
Maureen d’Almeida
Eu acho que mostrar/esconder é por exemplo termos uma pessoa a falar com outra, uma delas fica zangada e dá uma estalada à outra mas não se vê a pessoa a dar a estalada só se vê a outra pessoa de cara virada já com a mão na cara e ouviu-se o som da estalada mas não se viu a pessoa a dar a estalada.
No meu filme filmei a Carla a desenhar no quadro da sala H5. Ela estava desenhando uma coisa quando um colega diz que está feio e ela faz um gesto como se dissesse que não está interessada no comentário. Mostrei a Carla  a desenhar mas não mostrei o colega que fez o comentário ao desenho.
Com esta experiência aprendi a ter mais interesse pelos filmes quando os vejo, a olhar para cada detalhe de um filme, os momentos de mostrar/esconder, o som, as imagens e características… só sei dizer que agora sei mais coisas do que antes sabia, que espero saber mais e  que agora passo o fim de semana  a ver filmes.
Maureen d’Almeida

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4 mars 2011 – vendredi BFI à St. Catherines

Aujourd’hui, le groupe des filles a continué à travailler sur leur film. Certaines séquences ont dû être retournées, ce qui est un processus d’apprentissage pour elles. Bien que leurs films ne doivent pas excéder une durée de 3 minutes, elles se rendent compte que dix minutes de rushes parfois ce n’est pas assez. Il est préférable d’avoir plus d’images à utiliser au montage, plutôt que de constater que dans les dix minutes tournées,  il n’y a rien qu’elles puissent utiliser !
Les filles commencent à se concentrer davantage sur la préparation. Elles comprennent qu’en passant plus de temps sur le tournage, en répétant et en recommençant les prises d’une même séquence, elles auront plus de matière pour travailler au montage.
Grâce à cette préparation avant le tournage, l’équipe est de plus en plus organisée. Elles ont commencé à élaborer des storyboards et des scénarios plutôt que d’improviser avec la caméra. Les storyboards sont également très utiles pour vérifier que la séquence fonctionne bien.

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Portraits à facettes – le parcours – #2

Nous avons beaucoup travaillé, surtout avec Francesco, l’intervenant-réalisateur, avec lequel nous avons essayé de réaliser beaucoup de photos. Nous avons fait deux séances de photos.
Nous avons réfléchi ensemble pour choisir les photos les meilleures pour chacun de nous.
A la fin, on a élu les portraits les meilleurs. Ce sont Massimo, et Tiziano qui ont gagné !

MASSIMO

TIZIANO

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Portrait à facettes – parcours – partie #2

Nous avons beaucoup travaillé (surtout avec Francesco, l’intervenant-réalisateur), et avec lui nous avons essayé de réaliser beaucoup de photos. Nous avons fait deux séances de photos.
Nous avons réfléchi ensemble pour choisir les photos les meilleures pour chacun de nous.
A la fin, nous avons élu les portraits les meilleurs. Ce sont Federica et Nicolas qui ont gagné !

FEDERICA
« Portrait d’une camarade »



NICOLAS
« Ma petite amie »



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Portraits à facettes – parcours – partie #1

Après un long mois de travail, finalement nous avons rassemblé et sélectionné les photos de nos portraits à facettes.
Le processus de préparation à la réalisation de ces portraits a été assez long. Dans un premier temps, pendant le mois de février, nous avons travaillé avec Simone sur le portrait dans le cinéma : comment faire un portrait de quelqu’un par l’image? Ensuite, Francesco nous a initié à la pratique, tout en nous montrant une série de peintures et de photographies. Avec Francesco et Simone, nous avons travaillé soit sur le cinéma, soit sur la photographie. L’un et l’autre nous ont apporté beaucoup d’inspiration ainsi que les outils nécessaires pour réaliser nos portraits à facettes. Ce travail a été très utile aussi pour inventer des exercices.
Nous avons fait ce parcours ensemble avec les deux classes. Puis les deux se sont divisées pour réaliser chacune ses portraits, mais il a été très utile de voir tous ensemble les extraits de films et les photographies.
Voici quelques  unes des photographies  et des peintures qui nous ont accompagné dans notre parcours :

Henri de Toulouse Lautrec, "La toilette", 1896

Edgar Degas, "L'étoile", 1876-1877

Edouard Manet, "Bal à la Folie Bergère", 1881-82

Martin Parr, par la série "Luxury"

Nan Goldin, "Gilles' arm", 1993

Francis Bacon, three studies for a self portrait, 1979-80

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Portraits à facettes: le parcours – partie #1

Après un long mois de travail, nous avons enfin rassemblé et sélectionné les photos de nos portraits à facettes.
Le processus de préparation à la réalisation de ces portraits a été assez long. Dans un premier temps, pendant le mois de février, nous avons travaillé avec Simone sur le portrait dans le cinéma: comment faire un portrait de quelqu’un par l’image animée ? Ensuite, Francesco nous a initié à la pratique, tout en nous montrant une série de peintures et de photos. Avec Francesco et Simone, nous avons travaillé soit sur le cinéma, soit sur la photographie. L’un et l’autre nous ont apporté beaucoup d’inspiration ainsi que les outils nécessaires pour réaliser nos portraits à facettes. Ce travail a été très utile aussi pour inventer des exercices.
Nous avons fait ce parcours ensemble avec les deux classes. Puis les deux se sont divisées pour réaliser chacune ses portraits, mais il a été très utile de voir et commenter tous ensemble les photographies et les extraits de films.
Parmi ceux-ci, quelques uns nous ont donné de l’inspiration pour réaliser nos propres portraits. En voici un aperçu retracé à l’aide de photogrammes tirés de ces films :

« Bittersweet life » (Kim Jee-woon, South Korea, 2005).
Dans ce film, le réalisateur construit un portrait à facettes, par des cadrages très serrés sur des détails de la jeune fille. De cette façon, on peut retracer le portrait d’un corps par un ensemble de détails.
les jambes

le coté gauche de la figurel’oreilleses mainspour arriver, à la fin, au visage en totalité

« Citizen kane » (Orson Welles, U.S.A., 1942). Avec ce film, on voit comment on peut réaliser un portrait d’un personnage pas seulement par son corps, mais aussi par le lieu. En montrant un personnage, c’est intéressant de montrer aussi les informations qui viennent de son environnement.
Xanadu, l’inimaginable maison de M. Kane
son corps mourant, caché dans le lit
sa main qui tient un objet mystérieux, qui nous raconte…

« The aviator » (Martin Scorsese, U.S.A., 2004). Avec ce film, on voit comment on peut utiliser le détail pour raconter non seulement le personnage, mais aussi pour montrer ses sensations, ses émotions. M. Hughes (Leonardo Di Caprio), le protagoniste dont le film trace un vrai portrait, est un homme qui a beaucoup de paranoia…
Nous le connaissons par sa réactions aux flashs des photos
le détail du flash qui se détruit, ce que Di Caprio voit
la perception de M. Hughes de la foule qui l’attend
« Le septième continent » (Michael Haneke, Autriche, 1987), dont la première partie est entièrement racontée par des détails d’une famille qui se prépare pour sortir. Ce film a été très utile pour comprendre comment on peut raconter une histoire seulement en faisant un portrait à facette de la réalité.



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25/03/2011 – Vendredi BFI à St Catherines

Aujourd’hui, les groupes de filles ont principalement retravaillé sur le dernier exercice en ajoutant un scène alternative dans leurs films. Certains groupes sont donc sortis pour filmer les nouvelles scènes qui seront utilisées dans les exercices précédents.
Dans certains cas, il était difficile de rendre le film plus suggestif sans pour autant dévoiler tous les secrets au spectateur.

Les filles ont également travaillé sur leurs « films de fin d’école ». Elles ont élaboré des storyboards et recherché des anciennes images de voyages scolaires et événements. Pour ces films, construits autour de l’école, elles ont cherché les accessoires dont elles auraient besoin comme leurs anciens uniformes d’école, ou encore des photos.

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Session 6 a St. Catherine’s

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18 février 2011
La semaine dernière nous avons eu le plaisir de rencontrer Michelle Cannon qui ont fait de jolies photographies du groupe.
Aujourd’hui, les groupes de filles ont travaillé sur les dernières étapes de la réalisation du film comportant 2 secrets. Avec un groupe, nous avons cherché des effets sonores sur Internet, mais sommes arrivé à la conclusion qu’il était préférable d’enregistrer nos propres sons, car ces enregistrements sonnent trop faux, et nous voulions obtenir un effet réaliste.
Les masques représentent les propres visages des élèves. Tout le monde en portait, ce  qui a créé des images un peu sinistres et effrayantes. Cela s’accorde très bien avec le thème des secrets et montre comment les filles apprennent à sortir des sentiers battus pour être  plus en plus créatives.
Deux des filles ont décidé d’utiliser le thème des grandes puissances, ce qui était un changement agréable car la plupart des secrets traitaient de sujets très graves comme la maladie  ou la drogue. Opter pour une nature comique a bien fonctionné, car cela a apporté aux filles l’occasion d »explorer un côté plus léger et amusant du cinéma, et de montrer que tous les secrets ne sont pas forcément des histoires tristes.

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Session 5 a St. Catherine’s

11 février 2011
Malheureusement, je n’ai pas pu assister à la dernière session à cause ce qui semblait être la pire des grippes, mais après une semaine au lit, j’ai repris l’atelier avec le groupe de filles de St. Catherines cette semaine.
Aujourd’hui, la plupart des filles ont commencé le troisième exercice : un film sur deux secrets.
Cela s’est avéré difficile car les secrets ne peuvent être révélés au spectateur.
Nous avons utilisé une approche plus structurée par l’élaboration de plans et de storyboards avant de nous lancer sur le tournage.
Beaucoup de filles ont cherché à travailler à l’aide des dialogues et des effets sonores plutôt que par la musique, de sorte que certains des groupes ont écrit des scénarios.
Les groupes de travail sont vraiment bien ensemble et commencent à se réunir et utiliser les membres d’autres groupes dans leurs films.

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3 B – Institut "Carlo Urbani" – Acilia, Roma, Italia

Ciao a tutti!!!!

Nous sommes les élèves de l’institut Carlo Urbani de Acilia. Dans notre école on trouve deux curricula: graphique publicitaire et prothésistes dentales. Notre classe est composée par 18 élèves. Voilà nos lieux. Les photos ont été prises par Matei, Erika, Alessandro, Dilshan, Massimo, Valerio et Stefano.

notre école

atelier de prothèse dentale

nous en train de travailler…

nos outils de travail

le gymnase

le parc de Casal Palocco, un quartier à coté où beacoup entre nous habitent

Acilia est un petit quartier avec beaucoup de vert !

Il y a deux ans on a commencé à travailler sur le langage cinématographique avec M. Claudio Tanari notre prof de lettres, en étudiant les mouvements de caméra, les champs, les plans et les formes de montage, jusqu’a l’analyse du film intégral. Cette année on a accepté très heureusement de participer au projet « Le cinéma. Cent ans de jeunesse ». C’est un vrai privilège pour des cinéphiles comme nous !

Avec Simone nous avons commencé à travailler sur des extraits et puis avec Francesco on est en train de réaliser les premiers exercices : un portrait photographique ou filmique. Très tôt on vous montrera notre travail.

Nous sommes très heureux de représenter l’Italie et nous espérons de faire une belle figure !

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3 A – Institut "Carlo Urbani" – Acilia, Roma, Italia

Nous sommes les élèves de la classe 3 A de l’Institut « Carlo Urbani » de Acilia, dans la banlieue de Roma. Voilà quelques photos qui montrent nos lieux. Les photos ont été prises par Daniele, Yuliya, Kevin, Nikolas et Matteo.

notre école

le champ de foot le champ de foot de lécole

le champ de foot en herbe le champ de foot de Acilia

église de S. Leonardo église de S. Leonardo

l'entrée du fameux cemetière de Acilia... l’entrée du fameux cemetière d’Acilia avec une lumière mystèrieuse…

Nous avons commencé à travailler sur le cinéma à partir de l’année passée, en étudiant les bases du langage cinématographique avec notre prof de lettres, Mme Elisabetta Pastorboni. Cette année nous participons à « Le cinéma. Cent ans de jeunesse » sur le montrer/cacher. Avec Simone nous avons analysé quelques séquences liées au montrer/cacher et on à écrit des exercices écrits sur les extraits. Maintenant on continue notre activité avec Francesco et nous sommes en train de travailler sur la photographie.

Bientot on vous montrera nos portraits à facettes et nos exercices d’analyse.

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premier exercice des CE1 d'Ivry

Clary vient presque tous les mardis matins dans la classe pour l’atelier cinéma. On a regardé beaucoup d’extraits de films puis on s’est lancé dans le premier exercice : faire le portrait d’un camarade sans qu’on puisse le reconnaître. Nous avons chacun réalisé le portrait d’un copain ou d’une copine en essayant de « montrer/cacher » avec des techniques différentes. Certains ont fait les portraits uniquement en très gros plans, d’autres en utilisant le flou, d’autres encore en jouant avec la lumière (le contre-jour par exemple) ou enfin en demandant une posture particulière (de dos, vue de dessous, visage caché par les cheveux…).

Voici quelques photos de ce premier exercice:

A bientôt pour la suite de notre atelier cinéma!

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les ateliers de Péri

Cest une répétition et nous tournons devant le bureau du directeur et Joël donne une lettre à Sihame. Joël part discrètement sans que Sihame s’en aperçoive. Mais il y a eu trop de bruit et on a été obligés de partir.
Marcel et Joël tournent un petit film et Claire les regarde travailler. Marcel est cameraman et Joël est réalisateur. Les journalistes, le photographe et le perchman, le caméraman, les écrivains se cachent pour ne pas gâcher le film.
Préparation du matériel:

Joël prépare le micro

Marcel est le cadreur

C’est le groupe de Claire. Ils sont en train de discuter pour le tournage. C’est un exercice.

Les journalistes et la script:

Les journalistes

Lili est la script

répétition avant le tournage

exercice

Jahlysse  pendant le tournage:

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Séance du 18 janvier 2011


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Exercice d’Axel

Cette photo représente Axel dans les couloirs du collège Jean Jaurès.L’exercice demandé était de faire des photos sans pouvoir reconnaître la personne. Nous avons donc décidé de le photographier de dos .

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en direct d'un atelier à Péri

La caméra peut faire des films et la Cinémathèque nous prête sa belle caméra.


Nadia est journaliste.

Cholé nous aide à filmer la scène. Lilian et Lyn sont acteurs: Lilian et Lyn entrent discrètement dans la salle de la bibliothèque. Ils s’installent devant les ordinateurs. Et tout à coup ils voient par la fenêtre quelque chose d’extraordinaire (c’est un monstre caché).

On a dessiné un dessin au tableau, ça représente les comédiens avec les caméras. Ils nous disent où est l’ordinateur. C’est pour indiquer où est la place de la caméra.

Florian est un cadreur et Nadia la réalisatrice. Florian regarde sûrement dans la caméra et Nadia vérifie.

Il y a Joël qui tient la perche. Il y a Ambrine qui tient le casque, on voit le cable du casque. Ils sont techniciens son.

Florian regarde à la caméra pour vérifier si c'est bien. Joël est percheur. Nadia est réalisatrice pour expliquer. Lili est script, elle regarde combien de temps dure la séquence. Claire voit si le plan est bien ou s'il faut changer. Monsieur le directeur regarde si les acteurs jouent bien. Ambrine a le casque pour écouter le son.

Joël, Nadia et Marcel sont en train de ranger le pied de la caméra.

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champ contre-champ

Sur cette photo Ayah est devant Marc.

Kouillé prend en photo un bout des cheveux de Marc. Dans le  champ Ayah est de face et Marc est de dos, il est caché.

champ

Dans le contre-champ Marc est de face et Ayah est de dos, elle est cachée.

Contre-champ

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