16 décembre 2013 : Le plan-séquence dans deux courts-métrages : des buts et impressions différents

Cette semaine, nous avons visionné deux courts-métrages tournés en plan-séquence afin de comprendre ce que celui-ci apporte à la narration.

 

Emilie Muller d’Yvon Marciano
Emilie vient passer un casting filmé devant un metteur en scène qui cherche une comédienne. Emilie montre son talent d’improvisation, qui fait d’elle une bonne actrice, en commentant les objets contenus dans son sac. Grâce au plan-séquence, on sait qu’il n’y a pas de trucage ni de montage, ce qui prouve que c’est une bonne actrice.

 

Carlitopolis de Luis Neto

Un jeune étudiant présente son projet de fin d’étude devant des jurés avec une souris de labo nommée Carlito. Au début, l’expérience a l’air sérieuse avant qu’il ne découpe Carlito, qu’il ne le gonfle et qu’il le fasse exploser avec une bombe. Toutes ces manipulations ne sont en fait que des trucages. Ce film est tourné en plan-séquence pour ne pas montrer que cette expérience est fausse, le plan-séquence donne l’impression que l’expérience se passe en direct, sans trucages.

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