Le plus bel intervalle de notre film

Après visionnage, Raphael s’écrie « que d’émotions dans ce film » !

Et Jaurès trouve que le plus bel intervalle du film est à la toute fin, où

« l’on ne voit que Cléa, on ne voit pas Violette, mais elle est pourtant là ! Car on entend sa voix, et puis c’est comme si on était dans le film, là, avec Cléa, tout près ! C’est comme si toute la classe avait aidé Cléa et Violette à être amies… Il y a beaucoup d’intervalles dans le film, mais c’est le plus beau… »

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