Reflexões sobre as sensações no filme O Espírito da Colmeia, de Víctor Erice

 

No dia 15 de Outubro fomos à Cinemateca ver o “ O Espírito da Colmeia” de Víctor Erice. O filme transmite um conjunto de sensações não só nas cenas em que vemos as personagens Ana e Isabel a terem certas sensações, mas também, noutros momentos em que nós espectadores temos certas sensações, sem ser através das personagens. Muitos referiram o momento em que Ana sente a presença da Isabel prestes a pregar-lhe um susto, outros o momento em que Isabel tenta asfixiar o gato, e depois deste a morder, ela usar o sangue da sua ferida no dedo para pintar os lábios.

Escolhemos alguns fotogramas para fixar algumas sensações, umas a que sabemos o que chamar, outras não.

   

 

Le 15 octobre dernier nous sommes allés à la Cinémathèque portugaise pour voire L’Esprit de la Ruche, de Victor Erice. Le film transmet un ensemble de sensations, pas seulement dans les séquences dans lesquelles on voit les personnages Ana et Isabel ayant des sensations, mais aussi, en d’autres moments dans lesquels nous, les spectateurs, avons des sensations qui ne sont pas transmises par les personnages. Beaucoup d’entre nous on référé le moment quand Ana sent la présence d’Isabel sur le point de le faire peur, autres le moment quand Isabel essai d’étouffer le chat, et après qu’il l’a mordu, elle peindre ses lèvres avec le sang de la blessure.

On a choisi quelques photogrammes pour fixer quelques sensations, dont quelques unes on sait le nom et d’autres don on ne sait quoi l’appeler.

 

      

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