Dans une foire, le héros, Antoine Doinel, monte dans un manège .
Le manège tourne de plus en plus vite et le garçon reste collé aux parois. Antoine se retrouve même parfois à l’envers.
Parfois on a l’impression qu’il a peur mais il semble aussi prendre du plaisir grâce à la vitesse.
La scène est filmée selon deux axes.
Soit la caméra est placée en face du personnage principal et elle filme Antoine Doinel.
Soit la caméra est à la place des yeux d’Antoine (caméra subjective) et elle filme les spectateurs qui sont flous car le manège tourne vite. On ressent alors la sensation de vertige d’Antoine.